Promouvoir l'agriculture bio dans le val d'oise et en Ile de France
Le Val d'oise est
le seul département qui a vu le nombre d'agriculteurs bio baisser
entre 2014 et 2015! Et la
région Ile de France, dans son ensemble, est à la traîne, alors que
c'est une des régions où la demande est la plus forte. Partout
ailleurs, le nombre d'agriculteurs bio
augmente, même si c'est à un rythme plus faible que celui de la
consommation. Alors, ne serait-il pas possible d'installer des maraichers, des céréaliculteurs et des éleveurs bio sur le triangle de Gonesse plutôt que d'y créer une station de ski dévoratrice d'énergie fossile ?
Pour en savoir plus sur le potentiel de l'agriculture bio: http://www.pactebio2017.com/
L’agriculture et l’alimentation bio peuvent devenir un secteur économique stratégique. La France est en effet en mesure de devenir, d’ici 2022, le 1er pays consommateur de produits bio en Europe. La bio fournit déjà plus de 100 000 emplois dans les fermes, le conseil, la transformation et la distribution spécialisée et elle pourra encore créer des dizaines de milliers d’emplois non délocalisables dans les années à venir. Mais pour pouvoir répondre à la demande croissante et rendre la bio plus accessible à nos concitoyen.ne.s, 20% des surfaces agricoles devraient être cultivées en bio en 2022 (contre 6% seulement aujourd'hui), ce qui serait tout à fait possible si elle pouvait bénéficier des aides de la politique agricole commune versées aujourd'hui essentiellement à l'agrochimie polluante.
L’agriculture et l’alimentation bio peuvent devenir un secteur économique stratégique. La France est en effet en mesure de devenir, d’ici 2022, le 1er pays consommateur de produits bio en Europe. La bio fournit déjà plus de 100 000 emplois dans les fermes, le conseil, la transformation et la distribution spécialisée et elle pourra encore créer des dizaines de milliers d’emplois non délocalisables dans les années à venir. Mais pour pouvoir répondre à la demande croissante et rendre la bio plus accessible à nos concitoyen.ne.s, 20% des surfaces agricoles devraient être cultivées en bio en 2022 (contre 6% seulement aujourd'hui), ce qui serait tout à fait possible si elle pouvait bénéficier des aides de la politique agricole commune versées aujourd'hui essentiellement à l'agrochimie polluante.
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